Le poids est cinq fois moins élevé que celui d’une construction en béton ; le coût était légèrement inférieur ; s’y ajoutait une flexibilité des aménagements internes.
Parmi les problèmes majeurs rencontrés, il convient de souligner les risques d’incendie, dus à des appels d’air entre les cellules-logement. On rejoint là les risques associés aux CES de type Pailleron. A la Grande Mare, suite à un incendie, des parois coupe-feu ont été installées lors de la réhabilitation des logements.
Un autre problème -classique- réside dans les insuffisances des cloisons légères quant à l’inertie thermique et surtout à l’isolation phonique.
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